Vous cherchez comment dire des mots d'amour triste a votre amour? nous vous offrons les plus triste poèmes et poésie triste pour dire que tu es triste. Voila les 6 plus triste poèmes mort sur Google.
Quand s'affiche mon âme à sa lumière
Sous la voûte céleste, tout autour de moi
D'elle je puise mes sentiments qui errent
Les exposent au travers de tes pensées
Les mettant au chevet du grand jour
Pour composer des rimes bien gardées
A n'en plus finir, racontant notre amour
Cette histoire peu banal de deux êtres
Qui se sont rencontrés, au détour du hasard
Alors en une prose je lui confie les lettres
De mon cœur, au récit d'une joie sans égard...
Je peins des mots magnifiés, promettant
Des rêves les plus tendres au plus doux
Juste pour te disposer sur les ailles du vent
Chacune de leur couleurs, à mes vers fous...
Mon corps comme un Ange voltigeait dans les cieux
Et planait librement au contour de ton cœur
Qui m’enivrait pleinement comme un soleil radieux
Sans savoir qu’à lui seul il faisait mon bonheur
C’était cette nuit, c’était ailleurs où dans tes bras
Je sombrais saoul d’amour détachant dans le noir
Mon esprit sur tes mots, enroulé dans tes draps
J’ai crié ma douleur dans mon sombre manoir
Pour te dire que j’aime tout ton être empli de charme
Qui sans cesse m’émerveille, je n’rêve que te tes yeux
Profonds comme des puits qui accueillent toutes mes larmes
Ou tomber de vertige, leur cristallin m’émeut
Et pendu à ton cou, je te regarde faire
La plus douce des vertus des caresses sur ma peau
Je sens naître mon être pénétrer ton mystère
Courir dans un couloir puis nager dans tes eaux
Et puis le jour se lève, je sens encore la fièvre
M’emporter loin d’ici, noyer de tes soupirs…
Où ma sueur en toi parcourent jusqu’à tes lèvres
Tes poèmes triste faits de moi et de tes doux sourires…
J'ai lu mille merveille comme tes plus beaux je t'aime
Et tout ce qui de toi me redonne du bonheur
À tes côtés je passe des instants sans pareil
Je respire de nouveau et m'envole dans les cieux
Je te transmets ma flamme qu'en moi toi tu réveilles
Pour voir les nuages blancs qui passent dans tes yeux
A ton sourire je viens te déposer mes roses
Toutes celles au fond de mon âme qui n’écloront pas
Elles sont fermées en moi et attendent la prose
Qui parle de ton amour juste au creux de mes bras
Je t'ai donné ma peau, mes fleurs sur mes poèmes d'amour triste.
Le jaune de mon soleil qui redonne ton sourire
Dans ton jardin secret toutes mes fleurs se ressèment
Il n’en suffit que d’une pour atteindre ton empire
Sous ton vêtement léger je sens venir en moi
Ton désir sous ta peau et ton sourire complice
Qui émane tendrement tout du bout de mes doigts…
Et parcourant l'office de tous tes sentiments
J'entends battre ton cœur réclamant mes caresses
Sa cadence folle et douce qui donne au firmament
La lumière d'une étoile inondant ta tendresse
La chaleur de ta peau fait naître en moi la vie
La couleur de tes yeux recolore tout l'automne
La nature mais aussi celui de mon esprit
Au plaisir de l'amour qui dans tes bras détonne
Je me laisse surprendre à perdre la raison
Face à tant de beauté qui sur mon corps inonde
Mes ruisseaux asséchés par la cruelle saison
De mes tristes pensées sur mes blessures profondes
Si je devais vous parler
De profondeur je décrirais
Ses yeux dans lesquels
J'aime plonger mon essentiel
Si je devais vous parler
De grand frisson je raconterai
Sa main agile sur mon cœur
Lorsqu'il le caresse en douceur
Si je devais vous parler
De tendresse j’éditerai
Le baiser tendre de ses mots
Laissés sur l'essence de ma peau
Si je devais vous parler
De notre amour je le nommerai
"L'Eden" car d'un unique paradis
Se côtoient deux anges dans la vie...
Il pleut, je pleure, Le soleil se couche…
Je suis seule dans l'ombre, Je tremble, il fait froid, Et ce froid m'envahit. Le silence est présent. La solitude. Tu regardes en bas au pied de la falaise, La pensée de sauter approche… Mais pourquoi faire ? Il ne pleut plus. Tes larmes sont sèche, Tu te colles se sourire sur tes lèvre, Tu te lèves, Et lentement tu rentres, chez toi…
Dès lors qu'il inspire sur nos chemins
Âmes et corps assouvit cette envie
De sourire, sans la moindre raison
Dès qu'il chuchote tout bas l'ultime
Douceur d'un je crois en toi alors au fagnon
Du plaisir se joignent les pensées intimes...
Hier nous étions deux à regarder la mer
A regarder le temps qui s’échoue dans nos cœurs
Assis sur les hauteurs de la dune qui domine
Le soleil qui chauffait brulant comme l’enfer
Nous faisait oublier les frissons ou la peur
Ma tête contre la tienne, ta main sur ma poitrine ...
Puis dans un court élan, un baiser qui nous serre,
Nos regards tournoyants dans une larme de bonheur
Nous nous sommes allongés dans la douceur saline
Nos deux corps succombant à l’instant éphémère
Nous avons voyagé juste en apesanteur
Laissant là sur la dune nos rêves prendre racine
Nous étions là tous les trois… toi, moi et le vent.
Le soleil de Bray-Dunes éclairait cette ambiance
Tutoyant de ses rayons d'or la mer immense
Au zénith du décor, il invitait nos sentiments
Sur les grains de sable en caressant nos deux corps
A palpiter au vertige sublime de s'enlacer, sans fin
Bien caché dans les dunes, sous leurs embruns
A nous emporter sous le ciel bleu tel un essor
Nos âmes et nos cœurs dans un désir incontrôlable
De faire naufrage saoul d'amour où sur les subtiles flots
Le refrain à la houle des vagues, sous nos peaux
Souffle l'envie de liberté, d'un je t'aime incommensurable...
Au départ c'est juste une petite maladie :
La dépression. On apprécie jouer avec nos ciseaux, Simplement jouer ... On ne veut plus manger, plus envie… Nos sucreries favorites ont un gout amer. On dort, on voudrait dormir si longtemps, Tout le temps, Dans nos rêves la vie est si belle… Les rasoirs deviennent un jouet, Eux aussi. Ils brillent, ce rouge sur eux nous fascinent on en veut plus… Le sommeil ne vient plus, On prend des médicaments, Trop… Et ce jour où on se lève, Et tout est noir autour, Tout tourne, On se sent sur un nuage, On vole… Les lames ne sont plus des jouets. Le sang coule. Le sourire aux lèvres.
Deux espaces de terre sur un même continent
Au centre une forêt et tout parait immense
Puis l’onde de deux cœurs qui bat aux sentiments
Juste la science qui opère, dans les têtes l’insouciance
Et soudain, une rencontre, deux êtres qui se recherchent
Qui ne se connaissent pas, qui ne se parlent pas
Qui ne se touchent pas, les regards qui se cherchent
L’unique message quand la nature tend ses bras
C’est un manège étrange qui vient unir deux vies
Un puissant sortilège pour deux âmes en plein jour
Les ondes qui se rassemblent et surprises par la nuit
Libèrent sur la planète le secret d’un amour…
Je revoie tes mimiques Quand tu me souris T'es regards amoureux… Je ressens la douceur de tes lèvres, tes dents acharnés, ta langue, tes baisers ... Cette façon que tu as de te moquer gentiment de moi … Nos jeux au bord de l'eau, dans ta chambre, partout... Tout ce qu'on a eu le temps de faire ensemble, Que je voudrais qu'on fasse encore, Qu'on fera encore je te le promet…
Par vous et pour vous seulement mon amour
La flamme bienveillante qui m'entoure
Est l'ombre d'une si intense étincelle
Trouvant son refuge idéal sous votre aile
Celle-ci me berce au levé du voile de vos yeux
Mon âme par sa belle magie, quoi de mieux
Alors quand toute sa nature s’éveille sous ma peau
Et m'embellit, jusqu'à adorer rejoindre vos mots
Dans ce brasier incandescent sans nul effroi
Lorsque s'allume en moi l'incendie d'un bel émoi
Sans aucun détour, me transcende mon cœur
Pour ainsi atteindre vos bras et toucher se bonheur...
pour survivre faut stopper l'hémorragie voir les choses autrement je ferais n'importe quoi mais seule la mort agis y a pas de moi si tu n'est plus la j'ai beau tournée les pages du livre je relis tes message repense a nous deux ...
Comme une fin d'été aime l'ivresse de croire à la vie
Comme une feuille d'automne aime tournoyer à perdre la raison
Je t'aime d'un amour éperdu, sans fin, jusqu'à la folie...
Que je pourrais être prête à faire le tour du monde
Juste pour t'enlacer, être là face à toi mon amour
Quand te quémande mon cœur, à la voix de son onde
Je t'aime si fort et au delà du bruit d'un sanglot long qui court...
Poésie et poème triste
Ma plus belle poésie c'est bien toiQuand s'affiche mon âme à sa lumière
Sous la voûte céleste, tout autour de moi
D'elle je puise mes sentiments qui errent
Les exposent au travers de tes pensées
Les mettant au chevet du grand jour
Pour composer des rimes bien gardées
A n'en plus finir, racontant notre amour
Cette histoire peu banal de deux êtres
Qui se sont rencontrés, au détour du hasard
Alors en une prose je lui confie les lettres
De mon cœur, au récit d'une joie sans égard...
Je peins des mots magnifiés, promettant
Des rêves les plus tendres au plus doux
Juste pour te disposer sur les ailles du vent
Chacune de leur couleurs, à mes vers fous...
Mon corps comme un Ange voltigeait dans les cieux
Et planait librement au contour de ton cœur
Qui m’enivrait pleinement comme un soleil radieux
Sans savoir qu’à lui seul il faisait mon bonheur
C’était cette nuit, c’était ailleurs où dans tes bras
Je sombrais saoul d’amour détachant dans le noir
Mon esprit sur tes mots, enroulé dans tes draps
J’ai crié ma douleur dans mon sombre manoir
Pour te dire que j’aime tout ton être empli de charme
Qui sans cesse m’émerveille, je n’rêve que te tes yeux
Profonds comme des puits qui accueillent toutes mes larmes
Ou tomber de vertige, leur cristallin m’émeut
Et pendu à ton cou, je te regarde faire
La plus douce des vertus des caresses sur ma peau
Je sens naître mon être pénétrer ton mystère
Courir dans un couloir puis nager dans tes eaux
Et puis le jour se lève, je sens encore la fièvre
M’emporter loin d’ici, noyer de tes soupirs…
Où ma sueur en toi parcourent jusqu’à tes lèvres
Tes poèmes triste faits de moi et de tes doux sourires…
Je t'ai donné ma voix, mes mots et mes poèmes
Et chaque mot écrit émane de mon cœurJ'ai lu mille merveille comme tes plus beaux je t'aime
Et tout ce qui de toi me redonne du bonheur
À tes côtés je passe des instants sans pareil
Je respire de nouveau et m'envole dans les cieux
Je te transmets ma flamme qu'en moi toi tu réveilles
Pour voir les nuages blancs qui passent dans tes yeux
A ton sourire je viens te déposer mes roses
Toutes celles au fond de mon âme qui n’écloront pas
Elles sont fermées en moi et attendent la prose
Qui parle de ton amour juste au creux de mes bras
Je t'ai donné ma peau, mes fleurs sur mes poèmes d'amour triste.
Le jaune de mon soleil qui redonne ton sourire
Dans ton jardin secret toutes mes fleurs se ressèment
Il n’en suffit que d’une pour atteindre ton empire
Poèmes triste
Quand doucement ma main vient se glisser, effleurerSous ton vêtement léger je sens venir en moi
Ton désir sous ta peau et ton sourire complice
Qui émane tendrement tout du bout de mes doigts…
Et parcourant l'office de tous tes sentiments
J'entends battre ton cœur réclamant mes caresses
Sa cadence folle et douce qui donne au firmament
La lumière d'une étoile inondant ta tendresse
La chaleur de ta peau fait naître en moi la vie
La couleur de tes yeux recolore tout l'automne
La nature mais aussi celui de mon esprit
Au plaisir de l'amour qui dans tes bras détonne
Je me laisse surprendre à perdre la raison
Face à tant de beauté qui sur mon corps inonde
Mes ruisseaux asséchés par la cruelle saison
De mes tristes pensées sur mes blessures profondes
Si je devais vous parler
De profondeur je décrirais
Ses yeux dans lesquels
J'aime plonger mon essentiel
Si je devais vous parler
De grand frisson je raconterai
Sa main agile sur mon cœur
Lorsqu'il le caresse en douceur
Si je devais vous parler
De tendresse j’éditerai
Le baiser tendre de ses mots
Laissés sur l'essence de ma peau
Si je devais vous parler
De notre amour je le nommerai
"L'Eden" car d'un unique paradis
Se côtoient deux anges dans la vie...
Il pleut, je pleure, Le soleil se couche…
Je suis seule dans l'ombre, Je tremble, il fait froid, Et ce froid m'envahit. Le silence est présent. La solitude. Tu regardes en bas au pied de la falaise, La pensée de sauter approche… Mais pourquoi faire ? Il ne pleut plus. Tes larmes sont sèche, Tu te colles se sourire sur tes lèvre, Tu te lèves, Et lentement tu rentres, chez toi…
L'amour est l'opium de tout parfum
D'ivresse nous redonnant vieDès lors qu'il inspire sur nos chemins
Âmes et corps assouvit cette envie
De sourire, sans la moindre raison
Dès qu'il chuchote tout bas l'ultime
Douceur d'un je crois en toi alors au fagnon
Du plaisir se joignent les pensées intimes...
Poésie d'amour triste
J’ai osé espérer voir du regret dans ton regard… Je t’ai vu plus beau qu’avant. Mais j’ose même plus te parler… Mon cœur se serre, Sa fais mal dans le ventre. Parce que je crois que je t’aime…Hier nous étions deux à regarder la mer
A regarder le temps qui s’échoue dans nos cœurs
Assis sur les hauteurs de la dune qui domine
Le soleil qui chauffait brulant comme l’enfer
Nous faisait oublier les frissons ou la peur
Ma tête contre la tienne, ta main sur ma poitrine ...
Puis dans un court élan, un baiser qui nous serre,
Nos regards tournoyants dans une larme de bonheur
Nous nous sommes allongés dans la douceur saline
Nos deux corps succombant à l’instant éphémère
Nous avons voyagé juste en apesanteur
Laissant là sur la dune nos rêves prendre racine
Je ressens un grand vide, Lorsque tu n'es pas là… Je ressens une grande peine, Quand tu me jette se regard… Je m'imagine ton sourire. Comme avant, quand rien ne c'était passé… Je ressens dans ces petits moments-là, Mon cœur qui se remplit de joie, Pour un instant… Mais c'est déjà sa… Tu es près de moi.
Nous étions là tous les trois… toi, moi et le vent.
Le soleil de Bray-Dunes éclairait cette ambiance
Tutoyant de ses rayons d'or la mer immense
Au zénith du décor, il invitait nos sentiments
Sur les grains de sable en caressant nos deux corps
A palpiter au vertige sublime de s'enlacer, sans fin
Bien caché dans les dunes, sous leurs embruns
A nous emporter sous le ciel bleu tel un essor
Nos âmes et nos cœurs dans un désir incontrôlable
De faire naufrage saoul d'amour où sur les subtiles flots
Le refrain à la houle des vagues, sous nos peaux
Souffle l'envie de liberté, d'un je t'aime incommensurable...
Au départ c'est juste une petite maladie :
La dépression. On apprécie jouer avec nos ciseaux, Simplement jouer ... On ne veut plus manger, plus envie… Nos sucreries favorites ont un gout amer. On dort, on voudrait dormir si longtemps, Tout le temps, Dans nos rêves la vie est si belle… Les rasoirs deviennent un jouet, Eux aussi. Ils brillent, ce rouge sur eux nous fascinent on en veut plus… Le sommeil ne vient plus, On prend des médicaments, Trop… Et ce jour où on se lève, Et tout est noir autour, Tout tourne, On se sent sur un nuage, On vole… Les lames ne sont plus des jouets. Le sang coule. Le sourire aux lèvres.
Deux espaces de terre sur un même continent
Au centre une forêt et tout parait immense
Puis l’onde de deux cœurs qui bat aux sentiments
Juste la science qui opère, dans les têtes l’insouciance
Et soudain, une rencontre, deux êtres qui se recherchent
Qui ne se connaissent pas, qui ne se parlent pas
Qui ne se touchent pas, les regards qui se cherchent
L’unique message quand la nature tend ses bras
C’est un manège étrange qui vient unir deux vies
Un puissant sortilège pour deux âmes en plein jour
Les ondes qui se rassemblent et surprises par la nuit
Libèrent sur la planète le secret d’un amour…
Poème d'amour triste
A tout moment ? Je pense à toi…Je revoie tes mimiques Quand tu me souris T'es regards amoureux… Je ressens la douceur de tes lèvres, tes dents acharnés, ta langue, tes baisers ... Cette façon que tu as de te moquer gentiment de moi … Nos jeux au bord de l'eau, dans ta chambre, partout... Tout ce qu'on a eu le temps de faire ensemble, Que je voudrais qu'on fasse encore, Qu'on fera encore je te le promet…
Par vous et pour vous seulement mon amour
poème triste |
Est l'ombre d'une si intense étincelle
Trouvant son refuge idéal sous votre aile
Celle-ci me berce au levé du voile de vos yeux
Mon âme par sa belle magie, quoi de mieux
Alors quand toute sa nature s’éveille sous ma peau
Et m'embellit, jusqu'à adorer rejoindre vos mots
Dans ce brasier incandescent sans nul effroi
Lorsque s'allume en moi l'incendie d'un bel émoi
Sans aucun détour, me transcende mon cœur
Pour ainsi atteindre vos bras et toucher se bonheur...
pour survivre faut stopper l'hémorragie voir les choses autrement je ferais n'importe quoi mais seule la mort agis y a pas de moi si tu n'est plus la j'ai beau tournée les pages du livre je relis tes message repense a nous deux ...
✿♡❀ ✿♡❀✿♡ JE T'AIME ✿♡❀ ✿♡❀✿♡
Comme une écolière aime en septembre le frissonComme une fin d'été aime l'ivresse de croire à la vie
Comme une feuille d'automne aime tournoyer à perdre la raison
Je t'aime d'un amour éperdu, sans fin, jusqu'à la folie...
Que je pourrais être prête à faire le tour du monde
Juste pour t'enlacer, être là face à toi mon amour
Quand te quémande mon cœur, à la voix de son onde
Je t'aime si fort et au delà du bruit d'un sanglot long qui court...